Revue de presse
Les romans ados de Faction et la novella d'Yvon Coquil sont dans Télérama, Le Point et Ouest France. Tour d'horizon.
Raphaël Botte dans Télérama recommande On mange froid de Laurent Martin. « Un polar qu'on dévore (…) un roman scout horrifique et ironique qui retourne habilement les codes du genre ».
Elise Lépine quant à elle conseille Bonhomme de Yvan Robin, c'est à lire dans Le Point : « Le roman noir s'immisce dans ce roman d'apprentissage, sur fond d'éco anxiété et de stories instagram. En s'inventant de nouvelles figures tutélaires, Milo apprend à devenir adulte. Un beau texte, chaleureux et inquiétant. »
Le blog Les mafieuses enfonce le clou : « Les premiers émois, les premiers doutes, mais aussi les premières confrontations avec un monde des adultes bien sombre, tout y est. »
Benjamin Fogel ne tarit pas d'éloges : « Au récit d’apprentissage se greffe alors enquête, soupçons et mystères, dans un esprit à la fois cher aux Editions in8 et à l’auteur, pour un résultat totalement réussi. Gloire à la collection Faction, dirigée par Clémentine Thiebault, de proposer de tels textes, conçus pour les 12-14 ans curieux du monde contemporain, enrobés dans une narration parfaitement adulte, ancré dans le polar et faisant fi de toute simplification. »
Et les libraires partagent cet avis, tel Michael Corbat (Librairie les Papiers bavards) « je suis tombé sous le charme de ce roman à l'ambiance noire et estivale...un texte que j'aurais aimé lire ado et que j'ai adoré lire adulte », Aurélie Janssens (Librairie Page et Plume) "Un roman noir prenant, pour les ados et les plus grands ! À la fois tendu et fort, en quelques mots, de grands sujets sont abordés. À découvrir absolument !" ou Cécile Odorico (Librairie le Passeur)"Vos trois libraires ont adoré!"
Quand Yvon Coquil parle de Brest, il sait de quoi il retourne. Il n'a pas l'habitude de simplifier le réel, et, du reste, les Bretons ne s'y trompent pas. Dans Ouest France, Jean-Noël Levavasseur relève cette subtilité en évoquant Dernier rempart. Si Yvon met en scène des supporters de foot, ce n'est pas pour les assimiler à des fachos. C'est plus compliqué que ça. "Maout, le narrateur, n'est pas seulement un incoditionnel du Stade Brestois, il est l'un de ceux qui n'hésitent pas à donner le coup de poing avant ou après les matches et à frapper aveuglément des suporters de l'équipe adverse. De ces violences gratuites à des idées nauséabondes, il n'y a qu'un pas que son ami Polvo a déjà franchi. maout peut-il plonger, lui aussi ? Il peut mais il a des bouées de sauvetage : sa relation pleine de respect avec un gardien de but, son amitié naissante pour son entraineur au parcpours aussi sportif que politique, sa fille végane et activiste... Sous le noir des romans d'Yvon Coquil, il y a aussi de l'espoir et de l'humanité. C'est ce qui rend son travail su passionnant."